Il est fort probable que les OVNIS nous connaissent très bien. La question d’une cohabitation inter-planétaire se résume au principe d’un « jardin d’éden » : il est fort probable que selon la composition atomique de telle ou telle planète, telle ou telle espèce que nous connaissons soit à la tête par chez elle sur sa planète lointaine, de toute la chaîne alimentaire locale, il lui a suffi de prendre le dessus progressivement sur tout son « jardin d’éden » local, celui de sa propre planète.
Les localisations de telle ou telle galaxie, tel ou tel trou noir, tel ou tel satellite de telle planète, sont des paramètres pris en compte par les sciences développées par notre espèce humaine. Toute une tradition de vie, d’us et coutumes, d’habitudes existentielles, de croyances, en reviennent au même point de départ : notre propre croyance en NOUS, NOUS maîtres de la Terre, champion absolu soi-disant, de toute la chaîne alimentaire mondiale. On connaît la suite de l’Histoire : si elle est écrite par les Vainqueurs, l’Histoire des vaincus est celle de la riposte à préparer surtout lorsque le vaincu est un soi-disant vrai vaincu. Les soi-disant vrais vaincus sur Terre parmi la faune que nous pensons connaître sont le Lion que braconniers et chasseurs aiment arborer en trophées de chasse, l’Ours polaire qui n’a plus rien à manger et dont l’espèce s’amenuise, ou encore l’Esprit-Mammouth dont le cousin l’Eléphant est ambassadeur encore un temps sur cette Terre. Des exemples il y en aurait à la pelle, comme ces frelons qui détectent parmi notre champ de force la moindre peur pour s’engouffrer ensuite dans nos champs de force et nous injecter leur venin…
Il faut revisiter nos mythologies et légendes, qui nous ont inspirés de mettre en scène le petit homme de ROSWELL ou encore d’effectuer du biberonnage des toutes jeunes générations en héros de la Terre en tous genres contre les intrusions venues d’outre-Voie Lactée (Sangoku le petit homme à la queue de singe, les héros MARVEL, nos meilleurs acteurs de films d’action dans Independance Day, Armaggedon, Mars attacks), ou fort jadis les traditionnels mythes comme le Minotaure, affronté lui-même par le légendaire Persée, lequel mythe d’une bête ou monstre féroce semble indiquer une rude lutte voyant la légende prendre le dessus sur le mythe, puisque le légendaire Persée en ressortira vainqueur. Puis historiquement en Crète (Mer Méditerranée) on mettra la corrida à la mode : des taureaux seront affrontés et abattus dans ce qu’on appelle la pratique trois fois millénaires, de la tauromachie.
Remonter le fil de l’Histoire, jusqu’à ses sources : légendes, puis encore auparavant les mythes, peut permettre d’apprendre à connaître la véritable adversité d’un ou d’OVNIS. Mais surtout relire avec dextérité mythes, légendes et Histoire, permet à coup sûr d’obtenir une posture de respect envers quelque soit ces OVNIS. A côté de travaux menés par des chercheurs-historiens ou philosophes de l’Histoire dans le paradigme des sciences dites molles, il faut mettre en place les sciences dures vers des travaux qui desservent la cohésion humaine de notre population humaine : parce que c’est plutôt en abattant le dernier Ours Polaire sur Terre, qu’on passe, Humains, Terriens, pour des assassins, signal fort détecté outre-galaxie, par telle ou telle constellation, galaxie, planète…
L’espèce humaine ne peut pas être championne de tous les Mondes…