Entre Mal et Bien, entre Bien et Mal, nous perdant dans une zone « grise » progressivement la contamination de la férocité bestiale et animale, fait reculer l’espèce humaine, maître d’une chaîne alimentaire depuis le Néolithique, lequel Néolithique se durcit concernant le jeu imposé, la danse et cadence imposées par certaines espèces animales à l’encontre de ce que nous sommes et à l’encontre du statut que nous revêtons. Il nous faut s’ouvrir à toutes les nuances de gris de la zone de notre « communion » avec notre propre planète Terre. Ne pas prendre peur par exemple aux contaminations en Sibérie de l’Homme par le permafrost, qui est un sol qui date d’il y a 14 000 ans, et qui pour un archéologue ou paléoanthropologue serait définissable par un retour dramatique et mortel pour notre espèce humaine d’un véritable nid de virus comme on ne sait plus techniquement et biologiquement y être préparé. Quant au tropique du Cancer qui remonte suite au désaxage de la Terre, il produit et entraîne des perturbations magnétiques, gravitationelle sur l’espèce humaine : dans le sillage de sa remontée vers le Nord, il entraîne aridité, famine, tandis qu’il se dirige avec tout un cortège d’animaux et insectes endémiques vers le Nord, lesquels deviennent invasifs et nuisibles une fois rendu dans l’hémisphère Nord, puisque féroces ils font trébucher bien des espèces animales nordistes.
Multiplication de maladies mentales, de cas de cancers, d’addictions comme univers-refuges contre la bestialité du Monde, déréglement climatique et désaxage progressif de la rotation de la Terre qui fait remonter climats chauds et animaux féroces vers le Nord, multiplications des cas de prédation de l’Homme envers l’Homme (viols, agressions sexuelles, bagarres, …) ou de l’Homme envers Dame Nature et sa faune…

La perte de repères, perdre pied socialement ou sociétalement et hanter ensuite les hôpitaux psychiatriques, qui se retrouvent du coup débordés. Tomber soudainement malade d’un cancer, dont il y a une panoplie de plus en plus élargies d’organes infectés. Lire dans la presse tel ou tel fait divers relatant des actes de prédation débiles, fous, de l’Homme sur l’Homme. Être envahis progressivement d’espèces à la base endémiques de l’hémisphère sud tout en voyant les Grands Nords se réchauffer pour entraîner une montée des masses aquatiques (mers, océans) mais aussi une fonte des calottes glaciaires qui nous protégeaient de virus que seuls nos ancêtres très robustes d’alors, avant le Néolithique connaissaient.
Les hypothèses de « réchauffement climatique », de montée des océans pouvant engloutir d’énièmes cités et îles, et bords de côte comme du temps de l’Atlantide, de cancers comme traces de communication entre l’Homme et l’Animal, de maladies mentales en recrudescence soi-disant parce que les services psychiatriques sont mauvais alors qu’ils sont en fait out simplement débordés devant la démultiplication des cas de détresses, de dévissements au sein de la société de certaines personnes, qu’on décrit comme folles.
Si les mythes sont sensés nous inculquer le respect de qui nous sommes (nos racines), les légendes sont sensées inoculer en NOUS la possibilité d’affronter nos peurs ancestrales. Vient ensuite l’Histoire, qui est celle que nous essayons de faire. Nous l’écrivons depuis – 3300 ans environ mais quoi qu’on écrive le principal tronçon commun de nos histoires collectives de Terriens c’est la domestication de certaines espèces animales et végétales, lors du début du Néolithique, il y a 12 500 ans, pour en faire des amis et remparts contre l’envie, la jalousie et la férocité de certaines autres espèces animales : les abeilles contre les frelons, les chiens contre certains loups (le premier chien domestiqué il y a 9 000 ans était en fait un loup), le chat contre les rats dévoreurs de grains, graines et récoltes (le chat a été domestiqué il y a 6 000 ans sur les îles de la mer Egée), etc, etc.
Puis vint le temps des RELIGIONS : d’un bien peut jaillir un mal, et inversement, bien que les religions mondiales entendent faire comprendre surtout qu’il y aura toujours une élévation vers le Bien (bienfondé, bienveillance, bienfaisance, …). Les religions mènent de la diplomatie de Paix en temps de guerre, et nous gorgés de guerres actuellement sur Terre. Ces guerres sont davantage pour le pillage des ressources du voisin (minerais, terres arables, etc) que guerres religieuses.

André Malraux disait : « Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas »… En l’occurrence il est les deux à la fois : les religions mondiales tentent la diplomatie pour apaiser les troubles militaires, tandis que l’Homme est aux prises avec lui-même dans un carcan métaphysique spatio-temporel. L’Histoire de l’immédiateté écrirait : « Quand enfin aurons-nous basculé dans le fameux XXI e siècle et pourquoi s’éterniser dans un XX e siècle empli d’atrocités, douleurs telles qu’on se croirait revenus à il y a 14 500 ans lorsque l’Homme se sédentrisait, accaparait les terre du voisin tout en défendant son espace vital. Or dans ce recommencement, ce temps cyclique de l’Homme, celui-ci ne comprend pas qu’il peut continuer à écrire son Histoire malgré les difficultés (La perte de repères, perdre pied socialement ou sociétalement et hanter ensuite les hôpitaux psychiatriques, qui se retrouvent du coup débordés. Tomber soudainement malade d’un cancer, dont il y a une panoplie de plus en plus élargies d’organes infectés. Lire dans la presse tel ou tel fait divers relatant des actes de prédation débiles, fous, de l’Homme sur l’Homme. Être envahis progressivement d’espèces à la base endémiques de l’hémisphère sud tout en voyant les Grands Nords se réchauffer pour entraîner une montée des masses aquatiques (mers, océans) mais aussi une fonte des calottes glaciaires qui nous protégeaient de virus que seuls nos ancêtres très robustes d’alors, avant le Néolithique connaissaient).
